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EN MARGE DES ASSEMBLEES DE PRINTEMPS FMI/BANQUE MONDIALE : UN HOMMAGE APPUYE ET UNANIME AU PRESIDENT OUATTARA POUR LE MALI

jeudi 18 avril 2013


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Le rôle de la CEDEAO et de son Président en exercice, Alassane Ouattara, a été fortement et unanimement reconnu le jeudi 18 Avril 2013 au cours d’une table ronde à Washington, DC, en marge des Assemblées de printemps du FMI et de la Banque mondiale. C’était en présence du Premier ministre Daniel Kablan Duncan. C’est d’abord le ministre malien de l’Economie, des Finances et du Budget, M. Tiénan Coulibaly qui a publiquement reconnu le rôle de la CEDEAO et salué le Président ivoirien : « C’est par la CEDEAO que le reste du monde est venu au secours du Mali. Le peuple malien est redevable à la CEDEAO, au Tchad et au Monde entier », a indiqué M. Tiénan Coulibaly qui a insisté sur le leadership du Président Alassane Ouattara depuis le déclenchement de la crise malienne, le 22 Mars 2012, jusqu’à ce jour.


Pour sa part, le Premier Ministre Duncan a, au nom du Président de la Cedeao, dit être heureux de prendre part à cette table ronde qui va précéder la grande conférence internationale sur l’aide au Mali le 17 Mai prochain à Bruxelles, un véritable « Plan Marshall » pour ce pays frère. L’engagement ivoirien, notamment du Président Alassane Ouattara, est normal et logique car, selon le Premier Ministre Daniel Kaplan Duncan, lorsque le Président Ouattara a été élu à la tête de la CEDEAO le 17 Février 2012, il a précisé que son ambition première est de faire de la CEDEAO une zone de paix. Rappelant qu’il y avait au centre, le Mali mais aussi la Guinée-Bissau, le Chef du gouvernement ivoirien a souhaité que la CEDEAO puisse aider le Mali à s’en sortir. « Remerciements et espoir pour le Mali », a conclu Daniel Kablan Duncan.

Au cours de cette Table Ronde à laquelle participaient le ministre français du Développement, Pascal Canfin, et de nombreux autres ministres de pays voisins du Mali, tous ont tout aussi bien reconnu et mis en évidence le rôle joué par la France dans le règlement de la crise malienne.

Le Service Communication
CABINET DU PREMIER MINISTRE

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